Le testament spirituel laissé par Kathryn Kuhlman touche encore aujourd’hui un nombre incalculable de gens dans le monde. Née le 9 mai 1907 dans le Missouri (États Unis), la jeune femme se convertit en 1921 à l’âge de 14 ans. Au début de son ministère, elle était seulement évangéliste et limitait ses prédications au message du salut. Mais en 1947, alors qu’elle prêche ses premiers messages sur le Saint-Esprit, une femme fut guérie d’une tumeur en écoutant sa prédication. Plus tard, un homme fut aussi guéri de la même manière. Ces événements ont marqué le début du ministère de guérison de cette femme de Dieu. Après avoir passé plus de 50 ans dans le ministère, celle qui était une simple jeune femme rousse venue tout droit du Missouri, est devenue la femme évangéliste la plus connue de tous les temps, en dépit des combat et des luttes qu’elle a pu connaître. Découvrons ensemble 12 citations de cette revivaliste.
1) Aujourd’hui, Jésus est prêt à entendre vos cris et à répondre à vos prières. Il s’intéresse à tous les détails de votre vie. Il vous connait mieux que vous ne vous connaissez vous-même.
2) Partout où se trouve le véritable amour, se trouve également l’humilité. Rappelez-vous d’une chose : l’humilité n’est pas une qualité de personne timide et faible. Trop souvent, nous pensons que l’humilité est un signe de faiblesse. Ce n’est pas le cas. C’est un signe de force.
3) Les grands capitaines se forgent dans les mers difficiles à naviguer et les eaux profondes.
4) Un jour, j’ai décidé de me soumettre entièrement à Dieu ! Ce fut la première fois que je réalisais ce que signifiait avoir du pouvoir.
5) Dieu ne remplace pas l’ancienne vie et n’essaye pas de la réparer. Il nous en donne une toute nouvelle au travers de la nouvelle naissance.
6) La foi, c’est le pouvoir par lequel les choses que l’on souhaite deviennent les choses que l’on possède.
7) Rappelez-vous d’une chose chose : Dieu n’a jamais permis que nous passions par une épreuve que nous n’étions pas capable de gérer. Dieu nous a fourni tout le nécessaire. Il nous a donné le pouvoir dont nous avons besoin pour décrocher la victoire.
8) Il ne s’agit pas d’être digne, car nul homme n’est digne ! Ce n’est ni une question de perfection ni une question de pénitence, ni une question de travail pour atteindre l’un ou l’autre. C’est la grâce de Dieu seule !
9) Je ne suis pas une femme ayant une grande foi. Je n’ai qu’une petite foi en un grand Dieu.
10) Je confiais tout à papa, je savais que cela l’intéressait. Je ne lui cachais rien de ce qui m’arrivait. Il n’y avait pas une personne avec qui je dialoguais aussi facilement qu’avec mon père. C’est pour cela que ma relation avec mon Père céleste est aussi réelle et personnelle. Je ne réfléchissais jamais à ce que j’allais dire à papa. Cela venait spontanément, et il en est de même avec mon Père céleste.
11) Généralement, mon auditoire était composé d’une poignée de paysans, qui me laissaient utiliser l’église pour l’unique raison qu’ils ne pouvaient pas engager de prédicateurs. Je dormais souvent dans les chambres d’amis qu’on m’offrait, ou je cherchais par moi-même une petite chambre à louer. Il m’arrivait parfois de dormir dans un poulailler, quand je donnais des réunions la nuit dans une église abandonnée située à l’intersection d’un petit village de campagne. Mais j’étais remplie d’enthousiasme, et je sentais que je pouvais affronter le monde pour Dieu.
12) Il y a là des milliers de personnes désespérées venues pour être guéries, pour trouver Dieu. Mais je ne puis rien leur donner […].Je n’ai pas la puissance de guérir. Tout ce que je puis faire c’est leur rappeler la grandeur de Dieu et qu’Il est toujours le Tout-Puissant. Je ne suis que l’instrument qui Lui est livré. Dieu fait le reste.